Un ancien dirigeant de la fintech fait l'objet d'un recours collectif pour fraude en valeurs mobilières, ce qui suscite des controverses réglementaires.
Récemment, une action en justice contre un ancien cadre d'une entreprise de technologie financière a suscité l'intérêt dans l'industrie. Il semblerait qu'un avocat de renom représente de nombreux investisseurs détaillants dans une action collective pour fraude en valeurs mobilières contre l'ancien directeur général de cette entreprise.
Les documents judiciaires indiquent que le défendeur aurait manipulé le fonctionnement de la plateforme par divers moyens inappropriés pendant sa période de gestion. Cela inclut notamment : ne pas avoir divulgué correctement une majoration pouvant atteindre 60 %, l'utilisation de clauses d'exemption trompeuses, ainsi que l'adoption de stratégies de vente sans licence, etc. Ces actions étaient principalement centrées sur la vente des actions de plusieurs entreprises privées renommées via un véhicule à but spécial (SPV).
Il est à noter que la plainte mentionne également que le défendeur a ignoré les avertissements de l'équipe juridique interne pendant la période de 2023 à 2024, et que son comportement pourrait enfreindre plusieurs règlements de la Commission des valeurs mobilières (SEC) et de la Financial Industry Regulatory Authority (FINRA).
Pour ce procès, l'avocat représentant les investisseurs a souligné que les poursuites ne concernent que l'ancien PDG en tant qu'individu, sans être affectées par la protection contre la faillite que l'entreprise pourrait demander. Il a également déclaré que si le procès était gagné et qu'une indemnisation était obtenue, l'intégralité des fonds serait utilisée pour compenser les investisseurs affectés.
Cette affaire a de nouveau suscité des discussions dans le secteur sur la conformité des plateformes de négociation de capital-investissement, et a également servi de signal d'alarme pour les investisseurs, leur rappelant d'être particulièrement prudents lorsqu'ils participent à ce type d'investissement et de bien comprendre les risques associés.
Voir l'original
This page may contain third-party content, which is provided for information purposes only (not representations/warranties) and should not be considered as an endorsement of its views by Gate, nor as financial or professional advice. See Disclaimer for details.
16 J'aime
Récompense
16
3
Partager
Commentaire
0/400
WhaleSurfer
· 07-10 20:52
Les capitalistes ont encore été arrêtés hahaha
Voir l'originalRépondre0
YieldHunter
· 07-10 05:16
un autre schéma Ponzi démantelé... classique histoire de fintech à vrai dire
Un ancien dirigeant de la fintech fait l'objet d'un recours collectif pour fraude en valeurs mobilières, ce qui suscite des controverses réglementaires.
Récemment, une action en justice contre un ancien cadre d'une entreprise de technologie financière a suscité l'intérêt dans l'industrie. Il semblerait qu'un avocat de renom représente de nombreux investisseurs détaillants dans une action collective pour fraude en valeurs mobilières contre l'ancien directeur général de cette entreprise.
Les documents judiciaires indiquent que le défendeur aurait manipulé le fonctionnement de la plateforme par divers moyens inappropriés pendant sa période de gestion. Cela inclut notamment : ne pas avoir divulgué correctement une majoration pouvant atteindre 60 %, l'utilisation de clauses d'exemption trompeuses, ainsi que l'adoption de stratégies de vente sans licence, etc. Ces actions étaient principalement centrées sur la vente des actions de plusieurs entreprises privées renommées via un véhicule à but spécial (SPV).
Il est à noter que la plainte mentionne également que le défendeur a ignoré les avertissements de l'équipe juridique interne pendant la période de 2023 à 2024, et que son comportement pourrait enfreindre plusieurs règlements de la Commission des valeurs mobilières (SEC) et de la Financial Industry Regulatory Authority (FINRA).
Pour ce procès, l'avocat représentant les investisseurs a souligné que les poursuites ne concernent que l'ancien PDG en tant qu'individu, sans être affectées par la protection contre la faillite que l'entreprise pourrait demander. Il a également déclaré que si le procès était gagné et qu'une indemnisation était obtenue, l'intégralité des fonds serait utilisée pour compenser les investisseurs affectés.
Cette affaire a de nouveau suscité des discussions dans le secteur sur la conformité des plateformes de négociation de capital-investissement, et a également servi de signal d'alarme pour les investisseurs, leur rappelant d'être particulièrement prudents lorsqu'ils participent à ce type d'investissement et de bien comprendre les risques associés.